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août 2024
septembre 2024
octobre 2024
Le 16 mars
Mise à l’eau officielle du Loud
Le 17 mars
On casse le moteur, nous n’avions pas mis de joint étanche entre le tube et le moteur !
Le 21 mars
Remorquage du Loud du chantier de la Plagette au port de Sète avec le bateau d’Antoine.
Le 1er avril
Le Loud amarré au quai de la criée pour Escale à Sète
Le 10 avril 2024
je suis allé cet après midi au Loud par un gros mistral
le bateau est complètement de travers !
et il touchait de temps en temps le quai !
j’ai mis 2 tours de plus au bitton arrière bâbord pour reculer le bateau
mais il est toujours de travers.
Il va falloir revoir l’amarrage et peut être s’accrocher à la Catalane qui est à côté ?
Il n’y avait pas d’eau, environ 3 petits verres !
J’ai mis des renforts en inox au grand panneau à l’arrière et j’ai recollé le bois du cadre qui avait été cassé
Il faut faire attention quand on ouvre ces panneaux, il faut d’abord lever de 5 cm maximum le côté où il y a le cadenas et pousser vers l’avant du bateau. Si on lève trop haut on casse le bois du cadre !
Pour le petit panneau ce n’est pas encore réglé
J’ai mis aussi un peu d’huile de lin + térébenthine sur une moitié des membrures de la zone ouverte
J’ai recentré le mât qui était incliné sur bâbord, le hauban volant était trop tendu, en principe il doit être tendu que si on navigue à la voile !
J’ai mis dans le Loud une caisse en plastique avec un marteau et des coins en bois à côté des batteries.
Jai mis la grand voile sur son croisillon.
Joël
11 avril
Il faut aussi laisser un flacon d’huile de lin + térébenthine pour les membrures et la vergue qui commence à se dessécher avec le mistral…
Jacques
12 avril
Oui c’est bien d’avoir un carnet de bord, ça peut aider à résoudre certains problèmes.
Quant il y a beaucoup de mistral, il vaut mieux amarrer le corps-mort sur le bitton tribord arrière, et inversement quant c’est le marin.
Antoine
16 avril
Je suis allé aujourd’hui sur Le Loud. Il était assez en travers avec le vent violent. J’ai bossé l’amarre à bâbord avec l’aide de mon beau-fils, pour la raidir et redresser un peu le bateau. Trop de vent pour faire passer la pendille à tribord, ce qu’il faudra faire désormais avant chaque annonce de tramontane.
Quasiment pas d’eau dans les fonds.
Jacques
Le 21 avril
Pas une goutte d’eau dans le bateau, quelques cristaux de sel !
J’ai amarré la pendille sur tribord avec un noeud de cabestan et j’ai laissé la bosse. Les 2 catalanes qui sont à côté sont également amarrées sur tribord !
J’ai mis de l’huile de lin + térébenthine sur l’autre moitié des membrures de la partie ouverte.
Pour traiter l’antenne et la vergue il faudrait démonter les voiles et trouver des sacs pour les ranger.
Joël
29 avril
Je suis passé au bateau il y avait environ 15 cm d’eau, j’ai fait marcher les 2 pompes, elles ont bien fonctionné mais il faut les arrêter rapidement par manque d’eau à leur niveau. J’ai également utilisé la pompe à main qui fonctionne bien mais qui n’est pas pratique, il faudrait la fixer sur le bateau. L’amarrage du bateau était correct.
Michel Séverac
Le 1er mai
Le mercredi 1er mai Antoine et moi sommes allés vider Le Loud très plein après 3 jours consécutifs de pluie. Le croisillon est tombe poussé par le vent et le bout de la voile trainait dans l’eau. Les pompes ont bien fonctionné mais situées en arrière du point bas elles ne vident pas complètement la cale et on est obligé d’assécher avec la pompe à main…
Jacques
Le 4 mai 2024
Les fonds sont pratiquement secs, 3 verres d’eau !
Le croisillon était posé sur les bancs ! je l’ai remis en place pour soutenir la vergue de grand voile.
Le petit capot arrière n’était pas fermé, il était posé sur les ergots !
J’ai enlevé le pavillon d’Escale à Sète qui n’est plus d’actualité.
Il me semble que pour la pompe à main il manque un tuyau et il va falloir trouver un emplacement pour la fixer sur le bateau si on veut s’en servir de façon efficace.
J’ai relevé le « status » des batteries : Volt V-Bus = 56.96
Joël
Samedi 11 mai 2024
Première sortie du Loud, un succès !
Essai des voiles, navigation par vent SE 10 nds !
Tiré des bords devant le brise lames, avec virements réussis !
Bon comportement du bateau, vitesse, évolution…
Des petits réglages à voir
Assistance motorisée de Jean Wolf et d’Antoine
Présent à bord : Jacques, Michel, Claude
A bientôt de discuter de vives voix.
Yvon
Jeudi 16 mai 2024
Sortie du LOUD sur l’étang de Thau.
Equipage Antoine Claude Jacques, bateau accompagnateur, Grâce de Dieu.
Vent très faible le matin forcissant dans la journée à force 3, rafales à 4 sous les grains.
Dans le cadre d’Odyssée Singulière nous avons embarqué successivement 3 groupes de 6 élèves de terminale du Lycée de la Mer. Les jeunes ont participé aux multiples manoeuvres et apprécié la navigation traditionnelle.
Le bateau a confirmé ses capacités de vitesse même par force 1 et sa bonne remontée au vent.
Jacques
Samedi 18 mai
Petite navigation sans bateau accompagnateur, l’après midi sur l’étang entre le chantier et les eaux blanches par un vent S à SW de 6 à 7 noeuds et 12 dans les rafales.
À la barre Michel Cayuela et ont embarqué Jacques, Antoine, Gérard, Sylvie et moi.
Avec seulement la grand voile sans le trinquet nous avons fait quelques empannages sans problème et des virements au vent, un seul est bien passé, pour les autres avec un peu plus de vent il a fallu s’aider avec les avirons !
Quand le vent forcit il est difficile de border l’écoute de grand voile !
Le bateau est toujours très rapide.
Nous avons regagné le mouillage sans problème à la voile.
Tant qu’il n’y a pas de mistral annoncé nous laissons le bateau sur un corps-mort devant le chantier avec une ancre pour plus de sécurité.
Joël
Le 20 mai 2024
Du mistral est annoncé pour demain, on met le Loud au brise clapot.
Sur le Loud : Yvon Jacques et moi
Antoine nous remorque avec son bateau.
Joël
Le 26 mai
Le bateau est sec.
Avec Yvon nous avons changé la drisse du roquembot.
Les gilets de sauvetages sont fixés sous le pont avant à l’aide de crochets et de sandows.
J’ai mis une ancre légère dans le compartiment arrière du bateau.
Jacques est en train de réaliser les poulies pour faire un palan d’écoute pour la grand voile.
Joël
Le 28 mai
Jacques, Antoine et moi on démonte la Grand Voile qu’on rapporte au chantier pour mesurer la hauteur des bandes de ris afin de faire confectionner une voile neuve au plus près de l’originale.
Joël
3 juin
J’ai passé du goudron norvégien et de l’huile de lin + térébenthine sur l’antenne la vergue et le mât d’avant.
J’ai plié et rangé la voile d’avant dans un sac, la toile est très raide !
Joël
12 juin
Il a plu dimanche, je suis allé vider l’eau, il y en avait jusqu’à 3 cm au dessus des varangues.
Joël
14 juin
Jacques, Yvon et moi nous avons hisser la nouvelle grand voile dans le port, elle est parfaite au niveau coupe et d’aspect et de souplesse.
Il faudra la protéger avec un fourreau confectionné avec de la toile bleu anti UV.
Le palan d’écoute ira de façon imppécable !
Joël
19 juin
Agnès, Jacques et Yvon.
Testé les trois prises de ris, pas de problème ! On déplace le point d’écoute par une maille rapide sur des estropes !
Prévoir un taquet en bas du mat pour les points d’amures !
Contrôler le rocambeau lors des prises de ris !
Démontage de la commande moteur, pour test chez le réparateur !
Mesure de la vergue pour un taud de protection , Jacques a les mesures !
Yvon
Le 27 juin
Sortie Loud de 14 h30 à 17 h devant le port de Sète avec un bateau accompagnateur appartenant à Michel, un ami d’Yvon.
Equipage: Brigitte, Claude, Bernard, Jacques , Jean Wulf , Yvon et Yves
Conditions météo : très peu de vent force 1 à 2 de secteur Sud avec un petit clapot qui a rendu les virements difficiles.
Barreurs successifs : Yvon, Jacques, Jean Wulf, Yves .
Observations : Barre très neutre. La nouvelle GV plutôt plate est moins puissante que celle d’origine, de plus les photos montrent que le guindant était beaucoup trop étarqué pour ce vent très faible. Il est nécessaire de placer un taquet d’amure de GV et un taquet de drisse du trinquet. L’orsepoupe du trinquet doit revenir derrière le mât et être réglé en fonction de l’allure pour une meilleure efficacité de la latine, notamment au vent arrière et aux virements de bord. Par vent très faible et clapot, il est difficile de situer la direction du vent, des penons placés dans les haubans aideront aux réglages. L’estrope du palan d’écoute doit être un peu rallongée. pour éviter que la poulie inférieure frotte contre lla barre. Cette dernière à un jeu important qu’il convient de résorber pour une meilleure précision de barre.
En conclusion la sortie n’a pas offert de grandes sensations, mais elle a permis de nous faire progresser dans les réglages et les améliorations à apporter.
Jacques
Le 28 juin
Bonjour à tous,
La voile est difficile à ferler, et en particulier à rouler, je propose d’essayer d’ affaler la voile doucement et de faire comme si on prenait le troisième ris, puis ensuite de la rouler !
Quand on hisse la voile pour une nouvelle navigation, défaire le troisième ris !
J’attends vos commentaires.
A+
Yvon
Le 28 juin
Pour ferler correctement la voile ou tout simplement prendre un ris, il faut une bosse d’amure larguable rapidement.
Jacques
Le 29 juin
Sortie très agréable qui a permis de découvrir le bateau en condition de navigation. Le bateau est très stable et très sécurisant car le pont est large et spacieux. C’est très impressionnant de voir cette coque massive glisser silencieusement.
A refaire au plus vite avec un vent plus ardent
Yves
Le 1er juillet
Avec Jocelyne nous avons été prendre les mesures sur les deux voiles ferlées afin de réaliser les tauds de protection anti UV en tenant compte du passage des drisses.
J’ai également apporté sur le Loud la cale arrière du mât taillée dans un tronc de palmier qu’il faudra placer.
Joël
Merci Joël pour tes explications. Dès que nous aurons la toile, je viendrai au chantier avec mon matériel pour tailler et coudre les tauds.
Jocelyne
Le 7 juillet
Vidé l’eau après la pluie, 8 cm !
Joël
Le 8 juillet
Avec une semaine de beau temps devant nous, on projette de naviguer dans l’étang. Le rendez vous et pris pour 9 h 20 sur le Loud, Yvon et Gérard sur Aubane pour prendre le bateau en remorque, Claude et moi sur le Loud.
Tout le monde était à l’heure … et nous avons raté l’ouverture des ponts !
Finalement nous sommes passés le soir à 18h50 !
Joël
Le 9 juillet
Navigation sans assistance sur l’étang jusqu’à Roquerols avec un vent de 6 à 7 noeuds de Sud.
Le bateau est mené par Yvon, avec comme équipiers (ères) Joël, Jacques, Michel Cayuela, Lydie et Isabelle.
Nous sommes partis avec un ris que nous avons lâché assez rapidement, nous avons eu des problèmes pour défaire les noeuds et pour étarquer le guidant de la voile, le point d’amure n’étant pas pris correctement.
Globalement les virements de bord ont été corrects, nous en avons raté un seul sur 6 ou 7.
Le palan d’écoute de la grand voile est à revoir.
Nous avons mis des taquets pour la drisse de trinquet et de chaque côté des renforts du grand mât pour les prises de ris et pour la drisse de rocambeau.
Il faut avancer le point d’attache de la drisse du trinquet de 20 cm.
Au retour la prise du corps-mort s’est faire sans problème à la voile pure.
Le moteur est revenu de chez le réparateur, bientôt les essais !
Joël
Mon avis
Le largage de ris a été laborieux du fait d’une garcette trop ou mal nouée qui ne se défaisait pas. Veiller à relâcher le hale bas du rocambeau avant de rehisser et d’étarquer le guindant après largage de ris Le palan d’écoute est à reprendre. L’amarrage du point d’amure doit pouvoir se défaire rapidement et facilement pour la prise de ris.
Jacques
Pas d’accord avec Jacques en ce qui concerne l’amarrage du point d’amure : sur cette rare photo prise aux Kerkennah, on peut voir que la grand voile est roulée avec une prise de ris et que le point d’amure du bas da la grand voile n’a pas été défait !
Il est fixé sur le mât à l’aide d’une bosse d’amure qui fait plusieurs fois le tour et qui se termine par un noeud de cabestan.
En prenant un ris une partie de la voile côté mât ne peut pas se rouler, on la laisse pendre et ce n’est pas gênant !
Joël
Pour ma première navigation sur le Loud, c’était un régal. Un bateau magnifique.
Lydie
Le 10 juillet
Navigation sur l’étang jusqu’à Roquerols avec un vent de Sud Sud-Est de 6 à 7 noeuds et retour au près sans assistance.
Capitaine Yvon, avec dans l’équipe Philippe Leclere, Michel Cayuela, Joël, Anne-Marie, Brigitte et Lydie.
Nous avons fixé le point d’amure de la grand voile comme à Kerkennah, une bosse d’amure au 3ème ris a servi de bouline pour raidir le guidant de la grand voile, nous avons également utilisé la fourche en bois pour maintenir l’écoute de trinquet.
Tous les virements de bord ont été réussis, sans aide des avirons, mais il est nécessaire de border le triquet à contre.
Nos amis Claude et Dominique nous ont accompagnés à bord de Naïma.
Pour la prise du corps mort nous avons affalé le trinquet avant l’arrivée pour réaliser l’approche sous grand voile seule.
Tout a été bien maitrisé avec Yvon à la barre.
Joël
Le 11 Juillet
Essais du moteur sur le Loud, nous sommes allés jusqu’à Bouzigues et retour au moteur sans problème.
Jean Wulf aux commandes, accompagné par Joël, Gérard, Jean et Monique Velard et Bernard Liby.
Joël
Après un assemblage rigoureux avec Gérard (3 niveaux de joints) mardi et 2 jours de séchage c’était enfin le jour de la vérité pour voir si notre moteur électrique réparé par Farels Marine à Pérols allait rester étanche et fonctionner comme nous l’espérions tous.
Ce matin nous l’avons donc installé sur le safran et il a fonctionné très bien puis nous avons fait quelques manœuvres pour voir comment le Loud se comporte. Il est très facile à manœuvrer et réagit avec souplesse aux commandes. Vu le résultat encourageant nous avons prévu un tour à Bouzigues dans l’après-midi pour apprendre à mieux connaitre les différents paramètres techniques.
En partant le niveau de charge des batteries était à 55,5V et nous avons fait route avec 4,2nd et 3400 tours/minutes (max. 5200 t/m) donc nous étions à peut près à 65% de la puissance.
A Bouzigues le niveau de charges était tombé à 53,7V, donc une consommation de 1,7V sur ce trajet.
Sur le retour nous avons poussé un peu plus sur la vitesse et sommes montés à 5,2nd et 4900t/m ce qui correspond à 94% de la puissance.
A l’arrivée le niveau de charge était tombé à 50,5V, donc une consommation de 3,2V sur le retour.
On voit bien que le gain en vitesse (1nd) ce fait au coût d’une consommation presque double. Pour de longs trajets il faudra plutôt tourner à une vitesse modérée entre 3,5 et 4 nd pour ménager les batteries.
Jean Wulf
Bravo Jean Wolf pour la précision technique. Cet essai de consommation me parait très encourageant. Les chiffres varieront certainement avec les conditions de courant et de vent suivant qu’ils seront ou non portants. Nous attendons seulement de ce moteur qu’il nous permette de circuler entre mer et étang. Nous le verrons à l’usage…En tout cas, l’installation sur le safran est très discrète et ne défigure pas l’esthétique du bateau, c’est un point important…
Jacques
Il est très beau ce carnet de bord ! Bravo.
Mais attention à ne pas confondre tension aux bornes de la batterie (volts) et quantité d’énergie qu’elle peut encore donner (coulombs) ; ce n’est pas du tout proportionnel.
J’ai aussi admiré le peu de temps qu’il vous faut pour mettre à la voile. Un vrai bateau corsaire !
Dominique
Le 12 juillet
Un mistral plus fort que prévu nous a obligé à ramener le Loud du chantier au brise clapot avec Yvon.
Pour une distance de 2 milles nautiques nous avons consommé 0,5 V à petite vitesse. La tension aux bornes des batteries est à 50,05 V.
Joël
Le 14 juillet
Mise en charge des batteries toute la nuit, pleine charge à 58,05 V les chargeurs indiquent « Full ».
Joël
Le 15 juillet
J’ai fait l’étanchéité en sortie du tube du support moteur avec un tuyau d’aspirateur !
Joël
Le 16 juillet au mole à 14 heures
Première sortie à la mer avec le moteur électrique ! Une réussite !
Dans le port : Installation du moteur sur le support du safran, puis mise sous tension et vérification des indications au cadran. Le moteur tourne !
RaÏs : Yvon
Équipage : Joël, Lydie, Brigitte, Jacques (Moly), Claude, Bernard (Pellat), Michel (Cayuela).
Conditions de navigation : vent N-O force 2 puis force 4 à l’atterrissage. Les prévisions météo disaient NW 11 à 12 noeuds 16 à 17 dans les rafales.
Sortie du port au moteur, on hisse la grand voile en maintenant le guidant pour que la vergue soit hissée à l’horizontale, puis le trinquet.
Navigation bon plein, cap sur Agde vitesse 3.6 noeuds, observé sur l’écran de la manette des commandes, il est équipé d’un GPS !
L’équipage se relaie à la barre, navigation tranquille, jusqu’aux filières, un empannage et retour vers Sète avec des pointes à 4.7 noeuds, arrivée prévue vers 17 heures .
On démarre le moteur, on place le bateau face au vent
À l’arrivée sous le Théâtre de la mer, le vent fraichi, on se prend une rafale ! on affale avec difficulté le trinquet qui se trouve sous le vent, pour pallier à ce problème, on doit l’affaler tribord armure !
La grand voile est affalée difficilement, le guidant est resté libre, la voile bat énormément, la vergue devrait être solidarisé au mât avec le rocambeau !
Entrée au moteur dans le port sans problème, Jacques et Robert nous attendent avec un petit remontant des iles !
Pour les manoeuvres de voile, la place des équipiers doit être définie auparavant, et coordonnée !
Yvon
Le 20 juillet
Préparation du bateau pour Voix Vives : la vergue de grand voile est mise sur le croisillon et l’antenne du trinquet est montée.
J’ai préparé la petite ancre avec son cordage.
J’ai installé la pompe manuelle.
Important : Les batteries se déconnectent automatiquement 48 heures après la dernière utilisation. Pour mettre sous tension il faut maintenir le commutateur appuyé jusqu‘à ce que le cercle LED rouge situé sur le bouton-poussoir s‘allume pendant quelques secondes – c‘est le signal qui indique que les batteries sont sous tension.
Les batteries sont chargées à 57,29 V
Pour ranger le moteur facilement il faut mettre d’abord le tube et ensuite veiller à présenter l’hélice en position verticale.
Joël
Le 21 juillet
Sortie avec les poètes annulée à cause de l’orage.
Vidé l’eau avec la pompe à main et fini à l’éponge, Il y avait 3cm d’eau dans les fonds !
Joël
Le 23 juillet
Sortie avec les Voix Vives juqu’au théâtre de la mer
Raïs Jean Wulf accompagné par Jacques plus 10 personnes embarquées
1,8 milles
Etat des batteries à l’arrivée : 54,73 V -> 2,56 V utilisés soit 1.42 V / mille on est monté à plus de 5 noeuds comparable au retour de Bouzigues avec 1,49 V / mille consommé
À cette vitesse notre autonomie ne doit pas dépasser 10 milles et moins de 2 heures de navigation !
Joël
Le 30 juillet
Les batteries ont été rechargées.
Yvon et Jacques ont changé les garcettes de ris qui étaient trop fines.
Jean Wulf a fait des essais avec un Compteur de Coulomb pour avoir en permanence l’état de charge des batteries (SOC), avec une lecture directe sur un téléphone portable.
Nous avons mis le moteur en route, bateau amarré, pour mesurer la puissance absorbée en fonction de la vitesse de rotation du moteur.
Il y a une petite entée d’eau, environ un sceau et demi, je ne sais pas d’où elle arrive ?
Joël
Le 4 août
Navigation en mer
Équipage : Joël, Jacques, Jean Wolf, Julien, Claude, Yvon. Robert à appareillage
Prévisions météo : 15 – 17 Nds N/O
Installation du moteur électrique, niveau des batteries (57.61 V).
Sortie du port, on hisse la grand voile (3 ris) et le trinquet (1 ris) à l’abri sous le Théâtre de la mer !
Cap vers Agde.
Au fur et à mesure de la navigation on largue les ris !
Largage des ris :
1. On libère les garcettes
2. On maille le nouveau point d’écoute de la GV et libère le point d’écoute précédent
3. On libère le rocambeau et on déplace le point d’amure
4. On hisse la voile et étarque
5. On tend le rocambeau.
Pour la prise de ris, on procède dans le même ordre !
Navigation au près bon plein, vitesse 3 – 4 Nds.
On affale le trinquet puis la GV.
Mouillage à l’ouest du port de Marseillan à la limite des 300 mètres !
Pose casse croute à 12 h 30, bonne tenue du mouillage avec la petite ancre.
Pour l’appareillage, on hisse la GV avec un ris puis le trinquet, on relève l’ancre avec l’appui du moteur.
Retour vers Sète, en longeant la côte. réglage de la bouline, vent de travers, puis petit largue. On libère le ris de la GV.
À l’approche du port, on affale le trinquet vent arrière, attention à la tête Jacques !
Mise en route du moteur
Accostage au ponton 16 h 20.
Constat de la journée de navigation : Tous les équipiers ont barré et participé aux manoeuvres avec succès !
Le Loud est ardent à la barre surtout quand le vent fraichit : solution à discuter
Yvon
Nous avons fait une navigation d’environ 17 milles avec des pointes à 6 noeuds sur le retour.
Pour sortir et rentrer au port nous avons consommé 0.46 V
A essayer : pour rendre le bateau moins dur à la barre, relever le mât de quelques degrés…
Jacques
Le 5 août
Jean Wulf et son fils Julien ramènent le Loud devant le Chantier de la Plagette
Le 7 août
Vidé 2 seaux d’eau, l’eau semble arriver à l’arrière de la partie ouverte côté bâbord pas loin de la planche de quille.
Mis la plaque de La Fondation du Patrimoine
Mis la cale en palmier et la cale de liège derrière le mât et mis des liteaux pour caler le croisillon.
Sur le Compteur de Coulomb SmartShunt Victron j’ai changé dans les paramètres la valeur du « plancher de décharge » et je l’ai mis à 20% au lieu de 80%, en effet d’après la Doc le plancher de décharge ce n’est pas le DOD ( Depth of Discharge ) mais la valeur du SOC ( State of Charge ) limite avant décharge complète !
Joël
Le 10 août
Sortie sur l’étang à 14 heures
Équipage : Joël, Lydie, Nelly, Sylvie, Jérôme, Amélie, Maureen, le mousse Arthur, et Yvon.
Vent faible S/E, puis S/O 15 noeuds, puis S/E faible sur la fin de la sortie.
Mise en place du moteur, et sous tension
Hisser GV et trinquet, appareillage.
Navigation tribord armure, empannage et cap vers Roquerols.
Navigation sans problème, mouillage devant le port de Mèze,
Baignade partagée avec les méduses !
Retour vers Sète au portant, puis au près après la balise de l’homme mort,
Arrivée au moteur au chantier vers 18h30.
Utilisation du moteur pendant environ 20 minutes !
Nous avons consommé 0.23 V.
J’ai oublié les prises de vue vidéo de Jérôme, avec une perche, cela devrait nous donner de belles séquences de navigation !
Toutes les manoeuvres se sont bien déroulées, sortie agréable malgré la chaleur !
Nous avons parcouru environ 10 milles nautiques pour 4 heures de navigation.
Yvon
Le 13 août
Michel et Yvon rentrent le Loud au port de Sète, une renverse très violente est annoncée dans la soirée avec des rafales pouvant atteindre 50 noeuds !
Utilisé 0.96 V pour 2 milles
Le 25 août
Navigation en mer vers Marseillan
Appareillage à 14 h . Vent Nord-Ouest 12- 15 noeuds
Équipage : Joël, Jacques, Michel, Robert et son ami Gérard, Maryvonne, Nathalie, Madje et Yvon.
Cette sortie se fait dans les mêmes conditions que celle du 4 août mais nous avons laissé toute la toile !
L’équipage se partage les manoeuvres et la conduite du bateau !
Le déplacement du point de drisse sur la vergue vers l’arrière ne résout pas le fait que le bateau reste ardent, prévoir de diminuer la quête du mât !
Retour au ponton vers 17 heures
Yvon
Départ 56.03 V Arrivée 54.85 V Consommé 1.18 V
Distance parcourue au moteur pour renter et sortir du port 1.8 mille
Soit 0.65 V / mille
Vitesse moyenne 2500 à 3000 tours/minutes
« Léquilibre des forces » me dit Joël, avec un grand sourire, en regardant la grand voile… C’est un vrai plaisir de le sentir dans la glisse de ce si beau bâteau qui file sa route au ras du bleu ciel de la mer. Tout comme la résultante des forces humaines depuis des années pour lui donner vie.
Nathalie
Belle virée avec équipage en pleine forme 😎👏🏻
Ma préférence les voiles aux couleurs solaires et le bleu azur ciel-mer tout en contraste.
Sylvie
Hello
Merci pour cette navigation trop cool !
Madje
Le 27 août
Vire vire de la Saint Louis organisé par les Amis du Musée de la mer.
Pour les Voiles Latines de Sète : Hébé, Aubane, Abatros, Damienne, Nuage, Chrisylvanat et le Loud.
Pour les Gréements 3 bateaux participent à la manifestation.
Le Vire vire se déroule devant le Théâtre de la Mer, en absence de vent, on fait des ronds dans l’eau !
À bord du Loud : Michel, Guillem (fils d’Antoine) Marie-O, Pierre, Laurence Magne, son amie Joliette, Yvon.
Aucun enseignement nautique à retirer de cette navigation pour le Loud !
Retour au ponton vers 17h30 pour un apéritif, en présence du maire et de Romain Ferrara.
Mise en charge des batteries pour la ballade prévue demain.
Yvon
Le 28 août
À l’initiative de Bernard Pellat une navigation à été proposée aux adhérents de l’association pour les journées du 28 et 29 août !
Le projet de rallier Marseillan par la mer et retour le lendemain par l’étang s’est concrétisé !
Participaient à cette navigation, Albatros ( Bernard ), Aubane (Gérard ), Damienne (Madje).
Les équipiers des barquettes : Lydie, Bernard, Yves, Brigitte, et sur le Loud Joel, Michel, Marie-O, Cathy, Claude, l’épouse de Bernard, Yvon.
A l’aller, on hisse les voiles dans le port et navigation au portant, jusqu’au Castellas pour pause casse croute (au mouillage )
Arrivée à Marseillan vers 15 h, les places à quai étaient réservées.
Retour vers Sète par convoyage automobile, repas à la Ola le soir !
Yvon
Le vent était bien plus faible qu’annoncé !
Après le repas le vent est tombé, nous avons appuyé au moteur un petit souffle d’air avec 140 W pour avancer à 2.2 noeuds. Dans ces conditions l’autonomie annoncée était de 1 jour et 11 heures !
29 août
Retour de Marseillan à Sète.
Les barquettes reviennent à Sète par l’étang en passant par le Pisse Saume !
Le Loud revient par la mer, en absence de vent, la navigation se fait uniquement au moteur.
L’équipage, Joël, Michel, Bernard, Claude, Marie-O, Cathy, Yvon, maîtrise la situation et agrémente la route par des discussions animées !
Retour au port vers 15h30
Cette navigation au moteur à permis de tester la capacité des batteries.
Yvon
Nous avons parcouru au moteur une distance de 9 milles à 2300 tours par minute et 550 W, vitesse 2.7 noeuds soit 3 h 30 de navigation et une consommation de 0,33 V / mille.
À l’arrivée les batteries sont encore chargées à 84% et l’autonomie à cette vitesse est encore de 8 heures 55 minutes soit 24 milles encore à parcourir ! ! !
Le compteur de Coulomb semble surestimer l’autonomie par rapport à ce qu’annonce le constructeur du moteur !
Il devrait nous rester environ 16 milles à parcourir dans ces conditions, il y a peut être un problème de paramétrage ?
Joël
Le 30 août
Jean Wulf installe un nouveau compteur de Coulomb avec un écran incorporé. Il met les batteries en charge.
Le 1 septembre
Vidé 4,5 seaux d’eau
Les chargeurs de batteries étaient à « Full » j’ai débranché
Manette Torqlink 58.00 V et le BMV-712 Smart de Victron 57.77 V
une différence de 0.23 V ?
Avec le nouveau compteur de Coulomb on peut toujours avoir accès aux données sur un téléphone portable.
Il me semble que les paramètres ne sont pas ceux qui sont préconisés pour des batteries au lithium ?
Joël
Le 5 septembre
Après la pluie l’eau arrivait à 2cm au dessus des varangues, vidé 37 seaux d’eau !
il va falloir régler le problème des pompes automatiques, celles que nous avons installées ne sont pas adaptées, on ne peut pas brancher les pompes sur les batteries du moteur, il faut une petite pompe 12 V alimentée avec une batterie plomb indépendante.
J’ai rentré les paramètres dans le BMV 712 Smart :
Capacité : 140 Ah
Tension chargée : 57,7 V
Seuil de décharge : 80%
Courant de queue : 4%
Temps de détection de batterie chargée : 3m
Indice de Peukert : 1.05
Facteur d’efficacité de charge : 99%
Seuil de courant : 0,10 A
Intervalle de moyennage de l’autonomie restante : 3m
SOC de la batterie au redémarrage réglé à : Garder SOC
Pour l’état des batteries aujourd’hui : SOC à 100%
Commande Torqlink 57.84 V et le BMV-712 Smart de Victron 57.55 V
Joël
Le 13 septembre
Vidé 3,5 seaux d’eau : il y a toujours une petite entrée d’eau !
Commande Torqlink 57.70 V et le BMV-712 Smart de Victron 57.42 V
une différence de 0.28 V ?
depuis le 5 septembre perdu 0.14 V
On peut couper les batteries avec un appui long sur le bouton poussoir pour éliminer les courants résiduels qui provoquent une décharge spontanée.
J’ai coupé les batteries avant de partir.
«Pour mettre la batterie hors tension, maintenez le bouton-poussoir appuyé pendant au moins 5 secondes. Le cercle LED s’allume brièvement, la batterie est ensuite hors tension. »
Joël
Le 18 septembre
ramener le Loud au chantier pour carénage Anne et moi.
au départ : Commande Torqlink 57.70 V et le BMV-712 Smart de Victron 57.42 V état de charge 100%, avec les batteries coupées on a rien dépensé donc plus de courants résiduels.
à l’arrivée : Commande Torqlink 57.35 V et le BMV-712 Smart de Victron 57.07 V état de charge 95%, consommé 7.4 Ah ce qui ferait une puissance moyenne de 422 W ce qui correspond à environ 2000 tours/minutes.
On a esparmé, calfaté la fuite sur un écart entre deux bordés côté bâbord, passé la sous-marine, redressé le mât de 5° et changé la drisse de trinquet et l’hersau du hauban volant pour y mettre un cabillot, repris l’épissure du palan de drisse de grand voile, rajouté 4 gueuses de plomb et refait l’étanchéité du support moteur.
Joël
Le 22 septembre
On ramène le Loud du chantier au brise clapot à l’ouverture des ponts de 19h45 Yvon et moi.
On largue les amarres par un calme plat puis 3 minutes après, un gros orage et du vent fort se lève d’un seul coup. Nous avons reçu des trombes d’eau !
Devant le pont du Tivoli plus de contact batterie, nous avons sorti les rames en catastrophe pour prendre une place à quai sur un emplacement libre.
Il faisait nuit noire et les feux n’avaient pas de pile !
Le lendemain
Jean Wulf teste : le moteur met les batteries en sécurité, de l’eau de pluie serait entrée dans la moteur !
Remorquage du Loud au brise clapot avec Aubane avec Gérard, Yvon et moi.
Le Loud ne participera pas à Med-Max comme prévu !
Joël
Le 25 septembre
Le moteur du Loud est chez Farel-Marine à Pérols pour diagnostic et réparation.
18 octobre
vidé 1,5 seau d’eau après la pluie
placé un aérateur sur le capot arrière
27 octobre
Après les grosses pluies avec Yvon nous avons vidé l’eau, il y en avait beaucoup, 10 cm au dessus des varangues.
Les pompes éléctriques n’étant pas branchées nous avons vidé l’eau avec la pompe à main, le seau, l’écope et l’éponge !
Joël
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